Rikyu Aoki

Rik

MASCULIN

22 ans

Bisexuel

Japonais

Adulte

Cuisinier

Envole-toi loin de la fatalité !

Δ Qualités : Courageux Δ Intelligent Δ Souriant Δ Mature Δ Franc Δ Loyal Δ Actif Δ Généreux Δ Bienveillant Δ Protecteur Δ Amical Δ Charismatique Δ Ambitieux Δ Timide Δ Opportunisme Δ Juste Δ  Poli Δ Fidèle Δ Sensible et émotive sur certaine chose Δ Curieux Δ Observateur Δ Vigilant Δ Responsable Δ Combatif Δ Honnête Δ Gourmand Δ

Δ Défauts : Mystérieux Δ Solitaire Δ Timide Δ Colérique Δ Sang-chaud Δ Peu Bavard Δ Endormie Δ Rêveur Δ  Bagarreur Δ Rebelle Δ  Couche tard / Lève Tard Δ Lunatique Δ Mauvais perdant Δ Paresseux en cours Δ Maladroit Δ Arrogant Δ Bad Boy Δ Méfiant Δ Insolant Δ Rancunier Δ Anti-social par moment Δ

Avant l'aube … Plein de rêve … Un pas avant la naissance

L'histoire de ta mère qui à cette époque était une femme plein de rêve, cette histoire que tu n'as jamais entendu en entier, mais aujourd'hui tu vas connaître.

Fraîchement débarqués du Japon, cette femme qui autrefois était ta mère était la pour réaliser son rêve. Elle avait économisé toutes ces années, pour pouvoir enfin partir pour Paris. Elle était si gentille, si douce et si belle, son minois faisait tourner pas mal de tête. Elle était venue à Paris en défiant son père, renier à vie, elle avait commis ce péché que son père ne pardonnerait pas. Son père était quelqu'un de brut et de très traditionnel, elle était partie aussi pour cette raison. Elle dépensa ses économies pour acheter un restaurant minuscule avec un petit appartement au-dessus. Elle avait appris que récemment, qu'un de ses amis de la fac était venu en France pour ses études. Les premiers jours d'été tombé et son commerce ne marchait pas très bien, situé dans une banlieue à très huppé et surtout dangereuse, elle continua de croire que se rêve, était encore accessible. Les seuls clients qui franchissaient cette porte étaient les mêmes, des jeunes des cités qui venaient lui demander de payer ce qu'ils appelaient une taxe de protection, un jour elle n'avait pas payé cette taxe et son restaurant avait été saccagé. Ce jour-là, déprimé elle avait était voir son ami pour parler avec quelqu'un qui était du même univers que elle. Le Japon lui manquait, elle avait le mal du pays, mais de peur d'affronter son père, elle ne pouvait pas se permettre d'y retourner. Jusqu'à tard dans la nuit, elle avait parlé à son ami, mais il était temps de rentrer. Elle aurait mieux fait de rester chez son ami qui lui proposait l'hospitalité. Mais comme à son habitude elle en fit qu'à sa tête et décida de partir et d'affronter les rues noires de cette banlieue qui a cette heure était mal famé. Au détour d'une ruelle, un homme ivre attendait en guettant une proie favorable, quand elle entra dans cette ruelle, l'homme qui n'était pas à son premier coup d'essai pris cette femme pour une proie. Après l'avoir souillé, il la laissa dans cette ruelle et elle elle pleurait. Cette femme qui autrefois était gentille et douce changea radicalement et tomba dans l'alcool ainsi que dans une dépression de type colérique. Son restaurant, son doux rêve lui échappa et elle dut déménager dans un petit appartement que lui avait donné l'ambassade. Mais elle n'était pas au bout de ses surprises car neuf mois plus tard le petit  Rikyu était la.

L'aube noir … Maman … Nouvelle famille

Tu n'étais encore qu'un enfant, un enfant qui cherchait de l'affection auprès de sa mère. Mais cette affection que tu attendais, n'était pas celle que tu désirais. Tu étais encore trop petit pour te souvenir, mais ses cicatrices sur ton corps sont la pour te rappeler, que cette mère que tu aimais tant et que tu aimes toujours n'avais pas le comportement d'une maman qui aime son fils. Tu es vécu deux anniversaires en France, dans la misère et surtout tu as vécu sous les coups de ta mère, qui avait perdu son humanité ainsi que sa gentillesse. Malgré les coups, tu l'appelais toujours maman et même aujourd'hui je l'appelle toujours maman. Elle ta fait voir tout le mauvais côté de l'humanité, mais tu es toujours resté humain malgré le cauchemar que te faisait vivre ta mère. Tu étais insulté, frapper par celle que tu aimais tant. Tu étais un enfant normal qui ne cherchait que de l'affection et de la tendresse, mais cela tu ne l'as pas connu. Un jour, où la pluie d'automne tombait et/ou tu rentrait de la maternelle, ce jour-là tu n'avais pas oublié que c'était son anniversaire, mais devant la porte un mur humain te fit barrage. Trop petit pour comprendre, ont t'avait dit que ta mère était partie, mais une fois dans ce foyer tu avais entendu ce que les grandes personnes avaient dit de ta mère. Tu ne comprenais pas le mot suicide et tu réclamais toujours ta mère, mais tout ton entourage rester de marbre. C'est deux semaines plus tard, que toi et moi nous nous rencontrions, au début tu étais timide. Mais tu avais compris que ce pays était un lointain souvenir que tu avais aussi compris que ta maman ne reviendrait jamais, tu t'étais fait à l'idée alors que tu était encore jeune. À trois ans, tu avais pris l'avion pour la première fois et malgré le cauchemar que tu avais vécu, tes yeux et ton sourire restait celui d'un enfant qui avait encore plein de vie. Je me souviens encore quand tu as posé tes pieds sur le sol du Japon. Tu avais du mal avec le japonais au départ, toi qui parlais français. Après quelque temps d'adaptation aux coutumes du Japon et ton entrée en primaire à Tokyo tu avais commencé une vie d'enfant normal malgré le fait que cela ne soit pas le cas dans ta tête. Je t'avais donné tout ce que un enfant aurait dû avoir à ton âge, je t'ai élevé comme j'aurais élevé mes propres enfants si j'en avait eu. Tu as grandi, tu est rentré au collège, ensuite au lycée. Malgré le fait que tu séches souvent tu as réussi à avoir ton diplôme avec succès, j'ai toujours su que tu étais intelligent. Durant toutes ces années tu en auras fait voir et tu es sûrement celui qui va plus me manquer à présent.

Le jour … Adieux … Héritage

Aujourd'hui, tu es au courant que ma vie va s'arrêter, tu pleures à chaudes larmes et pour la première fois tu m'appelle tata, moi qui d'habitude avais le droit à l'appellation Madame, aujourd'hui j'ai eu le droit à ce nouveau surnom qui me fais chaud au cœur. Je t'ai caché la vérité et j'en suis désolé, mais maintenant tu connais tout. Après présent tu es grand, tu est fort et j'ai confiance en toi, je suis sûr que même si je te laisse tu arriveras. Mais je tenais, à te laisser quelque chose avant de partir. Je te laisse mon héritage ainsi que mon Sushi que tu chéris tant. Je me souviens que quand tu étais petit et même grand, tu m'a toujours aidé au Sushi Bar et tu ma toujours dit que tu prendrai la relève, un jours, ce jours est arrivé. Je te lègue aussi l'appartement qu'il se trouve au-dessus du bar, faisant bon usage. Quand tu liras cette lettre c'est que je serais partie. Mais de là-haut je te surveillerai, je serai toujours avec toi.

Aujourd'hui commence ta nouvelle vie Rikyu !

Audrey → Âgé de : 999 ans  ▬ Comment avez-vous connu le forum  : Je suis la fondatrice du forum
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